fleurs et cascade |
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A l’inverse de la botanique, commençons par les fruits avant les fleurs. Ici ce sont des goyaves. Aline s’en est beaucoup délectée. Grâce à ses vertus thérapeutiques elle échappa à la tourista. J’utilisais pour ma part un autre remède qui consista à en consommer beaucoup moins qu’elle.
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En effet, qui voudrait vieillir dans un tel paradis ?
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Souvent comme ici les jardins frôlent la route. Point de grand mur, point de barrière. Chacun peut profiter des fleurs de tous en admirant les jolies couleurs dont elles entourent les maisons. Pour connaître le nom de celles ci consultez les botanistes émérites. Autour de moi on est resté sec. Et moi avec.
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Dans la documentation j’ai lu quelque part qu’il ne fallait pas quitter l’île de la Réunion sans avoir remonté la rivière Langevin. J’imposais donc à Aline ce parcours indispensable jusqu’à l’endroit où l’eau ruisselle en cascade. Ce n’était plus Maniquet et ici, comme en maints endroits tout au long de la petite route qui suit la rivière, j’ai eu envie de me tremper pour un plaisir sinon nautique du moins rafraîchissant. Pas assez de temps. Il nous fallait regagner notre hôtel de St Pierre et le chemin jusqu’à la chute avait été long. Après la cascade, la route se perdait. J’ai bien failli nous perdre avec et je n’eus la possibilité de retour qu’après un demi-tour extravagant sur un chemin si creux que la Pigeot manqua d’y rester.
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